Les effets du dit “plan de sauvetage” de Brussels Airlines, lancé l’été dernier, se font durement ressentir du côté des employés. Dans La Libre, un steward dénonce un rythme de travail effréné et une organisation déplorable. Il explique que la direction ne prévoie parfois même pas de solution de logement pour les travailleurs de bord en escale !
Les hôtesses de l’air et les stewards comptent bien relever la tête. Ils menacent de partir en grève dans les prochains jours.
Les entreprises, et particulièrement les quasi-monopoles comme le groupe Lufthansa auquel appartient Brussels Airlines, pousseront toujours vers plus d’exploitation. C’est aux travailleurs de lutter pour enrayer cette machine infernale, soutien à eux !