La semaine passée, la FEF (Fédération des étudiants francophones) a organisé une manifestation à Bruxelles contre la hausse du coût de la vie. Elle déclare qu’un étudiant sur trois était touché par la précarité… avant la flambée des prix que l’on connait actuellement.
Une étudiante de 22 ans raconte : « La décision, ça a été que je retourne chez mes parents, que je travaille le samedi et le dimanche et si possible le vendredi soir. Continuer un travail étudiant alors que je suis en stage, est-ce que je vais y arriver ? Cela veut dire plus de temps de travail et cela veut dire beaucoup moins de temps pour étudier.
« J’ai encore eu un étudiant, explique la responsable de l’agence de recrutement Forum Jobs, qui m’a dit il y a deux jours qu’il devait payer une partie du loyer car ses parents n’y arrivent plus. Ce n’est donc même plus pour lui, mais pour la famille. »La pauvreté s’étend partout, comme une vague, et l’horizon ne fait que s’assombrir. N’est-il pas temps de réagir ? N’est-il pas temps de dire au gouvernement notre façon de penser ?
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